Wednesday, March 10, 2010

Argumentario du PP : “raca, raca, raca!”

Aznarpeineta-240 Il est possible que José Luis Rodríguez Zapatero soit un têtu, qui n'est pas descabalgarle facile même si tout le PP se met à cela. Mais il faut reconnaître que Mariano Rajoy ne reste pas aux arrières. Ils reprochent ZP le fait d'avoir changé de nombreuses fois de plan pour affronter à la crise c'est-à-dire selon ceux-ci, pour être une girouette sans idées fermes. Certains considérons que, devant une crise très beaucoup plus grave et différente de toutes les autres connaissances, il n'y avait pas de feuille de route. Dans toute catastrophe naturelle, le premier qu'il faut sauver ce sont les vies, après les biens matériels. C'est ce que le président du gouvernement a fait.

Le PP offre son appui au gouvernement chaque fois que les socialistes renoncent à ses signes d'identité et approuvent le programme électoral du PP. Révéler la formule pour résoudre la situation de 20 % d'arrêt qui est dit a l'Espagne, on ne peut pas faire parce qu'ils resteraient désarmés devant les élections générales de 2012. Elle produit une hilarité, l'interprétation des enquêtes qui donnent un gagnant sur le PP. Dans des zones comme l'Andalousie, on peut penser qu'ils ont la nostalgie le “señoritismo” traditionnel. Rien de plus erroné. Le jour des élections, certains voteront Javier Arenas et sa proposition de descendre des impôts aux riches et de défendre le licenciement libre.

La droite du PP croit aux formules traditionnelles qu'il considère éternellement valables. De là ce composant évangélisateur que les ministres prêchent in pectore de Rajoy en faisant un choeur au Maître. La baisse d'impôts et le licenciement dispense l'américaine, ils constituent le baume de Fierabrás avec lequel le Parti de droite pense résoudre les problèmes auxquels l'Espagne affronte, plusieurs desquels sont identiques à ceux d'autres pays mais ceux que de plus nous avons à ajouter les nôtres spécifiques. En ce qui concerne “d'abord sauver des vies”, la droite a confiance toujours plus en charité qu'en justice : Les revenus de l'Église par la "Xe" de la déclaration de revenus, ont été un éxitazo : 11.000 millions d'euros plus d'espéré donnée la crise. Plus que le correspondant à tous ces oenegés laïques.

“Les pays de notre environnement et semblé un poids ils sont déjà sortis de la récession et de nous non”. J'évite de dire “un Mensonge“ pour ne pas utiliser l'argumentario de Gênes. Je dirai qu'ils ne disent pas la vérité. En 2009, l'Allemagne a un dernier trimestre avec O % de PIB sur le précédent; l'Espagne-0,1; la France 0,6; l'Italie-0,2 et le Royaume-Uni 1. Nous sommes troisièmes de 4 résultats. Il gagne la Grande-Bretagne et l'Italie de Berlusconi reste dernière.

Si nous comparons chaque trimestre de 2009 à son équivalent du 2008, le meilleur résultat obtient la France (-3,5-2,7-2,3-0,3) et-2,2 en considérant 2009 sur 2008. L'Espagne reste la deuxième (-3,2-4,2-4,0-3,1) 2009/2008 =-3,6; l'Italie est troisième (-6-5,9-4,6-2,8)-4,8. La quatrième Allemagne (-6,7-5,8-4,8-2,4) qui s'améliore conformément arrive au dernier trimestre mais il en finit avec une perte de PIB de-4,9. En dehors de l'Eurozone, le Royaume-Uni (-5,2-5,8-5,1-3,2)-3,2 en face du nôtre-3,1 ne justifie pas qu'ils jettent tant de fusées, qui nous ridiculisent si son-4,8 d'année sur une année l'égalisation en Italie. R.U. et l'Italie il est deux heures de 5, en considérant les données finales de 2009 comparée avec 2008. (Eurostat nº02/2010 distribué 18 février 2010).

Quand nous voyons dans une télévision comment parlent les grecs de sa situation désastreuse, ils mentionnent toujours l'économie submergée comme étant un facteur très important. En Espagne, tout le monde évite parler d'elle ou méprise son importance. Jusqu'à quelques membres du gouvernement ils la nient. Du 2e à 23 pour cent de notre économie elle est enfoncée. Le bas du reste d'UE est de 15 %. Si l'Espagne arrivait à réduire cette économie au bas de l'Europe, nous créerions 2,5 millions de postes. La France, qui a aussi souffert ce phénomène, l'a réduit avec l'interdiction d'émettre des chèques au porteur à partir des certaines quantités.

Je suis d'un caractère cartésien et d'une éducation et par cela je cherche quelle peut être la raison par laquelle les banques semblent ne pas donner de crédits. Je crois que la crise a laissé beaucoup de travailleurs dans la rue, spécialement les relatifs au secteur immobilier. Comme corollaire, ils ont perdu l'étage dans lequel ils avaient enterré la plupart de son économie. Des banques et des Caisses d'épargne se trouvent maintenant alors son affaire traditionnelle de prêter de l'argent avec intérêts, il passe au deuxième terme en étant le premier, payer être défait dès des milliers de logements jusqu'à un milieu. Il est certain que cet actif ne vaut de plus de 50 % du prix qu'il a eu quand tous représentions la comédie des tromperies. Si les banques aident maintenant aux petites entreprises en leur accordant des prêts, il n'existe pas la sécurité dont les travailleurs pareils faits du bien, recommencent à demander des crédits jusqu'à ce que passe la peur collective. Qu'est-ce qui intéresse aux banques ?

Le parc de logements à des mains de banques et de caisses d'épargne transforme à ces institutions financières chez des rivaux des Agences immobilières à l'heure de captent des acheteurs. Les possibilités d'offrir un crédit aux opportunistes acheteurs du moment, sont tout du côté de ceux qui profitent du bas prix de l'argent de la banque Centrale Européenne (BCE) et ils ont institutionnellement cette porte ouverte. L'aide au système bancaire, dont tant il parle le gouvernement et tant il tait le Parti de droite, sert à réduire son parc de logements en offrant des hypothèques de jusqu'à 100 % sur des étages baissés dans un 40/50 %. Pendant ce temps, les agences immobilières, et les nombreuses industries auxiliaires qui dépendent d'elles, se désespèrent en attendant son tour pour disposer des crédits et d'un pouvoir vendre ses stocks, terminer des oeuvres timides ou commencer de nouveaux projets.

Iñaki Gabilondo a raison en dénonçant le contresens qui existe dans la dialectique du premier parti d'opposition quand se remplit la bouche “d'unité de l'Espagne” et réclame toutes les solutions à l'"administration centrale". En même temps ils jouent la lettre du "séparatisme" des autonomies du PP, spécialement Madrid et Valence, la Galice à un moindre degré. 60 % de la dépense dans l'Espagne correspond aux autonomies. L'austérité est chose de tous. Les autonomies sont l'État et s'ils doutent de cela qui le se demandent à Manuel Fraga Iribarne qui s'est lassé de dire, et avec juste raison, qu'il était l'État en Galice qui gouvernait alors.

Après les huées de quelques étudiants à José Marie Aznar dans l'Université d'Oviedo, et la réponse du peigne que l'ancien président du Gouvernement leur a consacré, plusieurs de ses partisans se sont jetés à critiquer le Cordonnier pour ne pas être sorti pour condamner l'attitude des étudiants. Il faut rappeler que ZP et le roi sont sortis dans sa défense contre Hugo Chávez, dans la clôture du XVII Sommet Latino-américain qui était clôturé au Chili en novembre 2007. Le leader vénézuélien a nommé “fasciste“ Aznar. Cela remercie pour ce geste en appelant “une pyromanie“ à l'actuel président Rodríguez Zapatero. Le PP a un problème très sérieux avec la loquacité de son président d'honneur. Où reste le patriotisme des bretelles et de poignets de force bicolores ?

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