Friday, March 19, 2010

Dans une défense des droits fondamentaux dans Internet

Dans le jour dans lequel le gouvernement pense adopter une loi qui diminue les possibilités de développement d'Internet c'est-à-dire qu'ad permet à une Commission hoc du Ministère de Culture, fermer un web sans un ordre préalable judiciaire, me l'un à tous ceux qu'ils répètent aujourd'hui le Manifeste de protestation de 2 décembre 2009. Par les mêmes dates j'ai publié un post (les Portes pour le champ) justifié en invitant à reconsidérer la menace de la législation restrictive dénommée “la Loi Sinde” qui arrive aujourd'hui au Conseil des ministres.

UN MANIFESTE

Devant l'inclusion dans l'Avant-projet de Loi d'Économie soutenable de modifications législatives qu'ils touchent l'exercice libre des libertés d'expression, de l'information et du droit de l'accès à la culture à travers d'Internet, les journalistes, bloggers, des utilisateurs, des professionnels et des créateurs d'Internet nous manifestons notre opposition ferme au projet, et nous déclarons que …

1. - Les droits d'auteur ne peuvent pas se situer au-dessus des droits fondamentaux des citadins, comme le droit à la vie privée, à la sécurité, à la présomption d'innocence, à la tutelle judiciaire effective et à la liberté d'expression.

2. - La suspension de droits fondamentaux est et doit continuer d'être concurrence exclusive du pouvoir judiciaire. Une fermeture sans sentence. Ete un avant-projet, contre l'établi dans l'article 20.5 de la Constitution, met à des mains d'un organe pas judiciaire - un organisme dépendant du ministère de Culture - le pouvoir d'empêche aux citadins espagnols l'accès à toute page Web.

3. - La nouvelle législation créera une insécurité juridique dans tout le secteur technologique espagnol, en nuisant à l'un de peu de champs d'un développement et d'un avenir de notre économie, en engourdissant l'entreprise, en introduisant des cales à la concurrence libre et en ralentissant sa projection internationale.

4. - La nouvelle législation proposée menace les nouveaux créateurs et engourdit la création culturelle. Avec Internet et les avances successives technologiques on a extraordinairement démocratisé la création et l'émission de contenus de toute espèce, qui ne proviennent pas déjà prevalentemente des industries culturelles traditionnelles, mais d'une multitude de différentes fontaines.

5. - Les auteurs, comme tous les travailleurs, ont un droit à vivre de son travail avec de nouvelles idées créatrices, les modèles d'affaire et d'activités associés à ses créations. Essayer de soutenir avec des changements législatifs à une industrie obsolète qu'il ne sait pas s'adapter à ce nouvel environnement n'est pas juste et réaliste. Si son modèle d'affaire se basait sur le contrôle des copies des oeuvres et dans Internet il n'est pas possible sans transgresser de droits fondamentaux, ils devraient chercher un autre modèle.

6. - Nous considérons que les industries culturelles ont besoin pour survivre les alternatives modernes, efficaces, croyables et accessibles et qui s'adaptent aux nouveaux usages sociaux, au lieu des limitations si disproportionnées comme inefficaces pour la fin qu'ils disent poursuivre.

7. - Internet doit fonctionner d'une forme libre et sans les interférences politiques patronnées par des secteurs que les modèles obsolètes d'affaire cherchent à perpétuer et à empêcher que le savoir humain continue d'être libre.

8. - Nous exigeons que le Gouvernement garantisse par loi la neutralité du Réseau en Espagne, devant toute pression qui peut se produire, comme cadre pour le développement d'une économie soutenable et réaliste vis-à-vis de l'avenir.

9. - Nous proposons une vraie réforme du droit de propriété intellectuelle orientée à sa fin : rendre à la société la connaissance, provoquer le domaine public et limiter les abus les organismes gestionnaires.

10. - Dans une démocratie les lois et ses modifications doivent être approuvées après le débat opportun public et ayant préalablement consulté à toutes les parties impliquées. C'est du reçu que sont réalisés les changements législatifs qu'ils touchent des droits fondamentaux dans une loi pas organique et en ce qu'il traite d'une autre matière.
SIGNÉ :
Enrique Meneses

Un entretien de Tony Garrido de RNE avec Nacho Escolar, rédacteur du Manifeste sur le projet de loi.

Sunday, March 14, 2010

Pourquoi il ne peut pas gagner Rajoy

Aguirreyaznar-240 Il n'est pas difficile d'expliquer pourquoi Mariano Rajoy est prisonnier de ses propres contradictions. Ne pensez pas à la médisance qui soutient qu'il n'est pas connu quand un galicien monte ou descend un escalier. Pensez seulement au dilemme dans lequel il s'est déjà enfermé il y a beaucoup d'années. Comme le Vice-président de José Marie Aznar pendant le gouvernement du Parti de droite, a essayé de se maintenir à la marge de la grâce piquante d'enfant gâté de son chef. Un annulaire menaçant n'aurait jamais vu dans un Rajoy éternel adversaire un tribun du XIXe. Mais beaucoup de sympathisants du PP, considèrent qu'il manque “testiculina” dans la direction du parti. Peut-être lui sur à l'Espoir Aguirre.

Quand il dit le PP qui est disposé à substituer “Bambi“, il ne nous expose pas lesquels sont ses recettes pour sortir l'Espagne de la crise. Certains croient que serait imprudent découvrir ses “armes de salut massif” par la crainte que copie un parti socialiste espagnol perdu dans les ténèbres de l'Averno, en donnant des bâtons d'aveugle au piñata. Ces armes doivent seulement voir la lumière du jour quand l'ennemi sera bien battu. Le mauvais consiste en ce qu'Aznar a fait un peu pareil avec notre intervention à l'Irak et nous voyons déjà que c'est la chose unique qui croit encore avoir raison. La majorité des Espagnols nous pensons que comme joueur du Mississippi, José Marie n'avait pas il ni a de prix. À Marial on découvre ce qu'il cache dans le sourire fuyant après la sénilité de sa barbe. Rajoy crie, sans lui vouloir : "Messieurs … : Que je sais seulement que je ne sais rien!”

Pendant ce temps, l'Espoir Aguirre recommence à s'éveiller. Les apparitions récentes de José Marie Aznar dans les médias, ils l'ont rendue à l'activisme "indépendantiste". Il me rappelle au gouverneur George Wallace d'Alabama devant l'entrée de l'Université de Tuscaloosa, disposé à empêcher que s'inscrivait Vivian Malone, la première noire qui cherchait, dans cet État, à se former à un centre exclusivement pour des cibles. Nicholas Katzenbach, assistant du Ministre (Attorney General) Robert Kennedy, est sorti de sa poche un document signé par le Président des EU John Fitgerald Kennedy : Un ordre de mobilisation de la Garde nationale d'Alabama. Une heure pour lui changer l'uniforme bleu pour le kaki de celui des G.I. Et là il a fini le soberanismo de cet état. Pourquoi n'avons-nous pas de lois semblables quand un certain Francisco Camps veut imposer des classes de citoyenneté … mais en anglais ou l'Espoir Aguirre repousse la montée de la TVA ou la loi du Tabac ? Sommes-nous dans une Confédération des États Autonomes ?

Une éducation et une Santé ne sont pas probablement à des mains des Autonomies parce que les mêmes occasions doivent avoir la totalité des citadins. Tous les Espagnols ont un droit à sortir depuis la même ligne de sortie, dans la course de la vie, dans les mêmes conditions. Tout de suite que chacun arrive où ses capacités, volonté ou talent leur permettent. Certes, j'avais comme compris que seul Felipe González avait nationalisé un secteur après sa victoire de 1982 : le réseau national électrique. Les compagnies privées paieraient les cánones correspondants pour que l'État la maintînt dans des conditions. Peut-être les soberanistas catalans auraient économisé les actuels désagréments. Il y a encore, celui qui dit que, nécessairement, le privé fonctionne mieux. Ils ne profitent pas d'une leçon.

Quand Rajoy voit que lui vont bien les enquêtes, on croit qu'il découle de ses qualités d'homme d'Etat. Il croit qu'en suivant même un mantra de descendre des impôts et flexibilizar les contrats de travail, il en finira avec l'arrêt. Il n'admet pas que, étant donné que manquent deux ans pour aller aux urnes, les Espagnols fâchés s'amusent entre-temps en donnant un coup de pied dans le cul à ZP. Le mauvais consiste en ce que, par la peur de sembler "rouge", Rodríguez Zapatero ne s'affronte pas aux banquiers qui, au lieu de donner des crédits aux Pymes, prennent l'argent très bon marché, avec avals de l'État, pour aller acheter les Bons du même État que 4 % rapportent. Depuis longtemps que nous recommandions plusieurs à ZP qu'il accordât des crédits directement à ceux qui ont besoin d'eux d'urgence pour ranimer l'économie. Le même Felipe González disait le 12 mars, dans le Congrès sévillan du parti socialiste espagnol, que ne sont pas nécessaires les 44.000 succursales bancaires pour octroyer les crédits aux petites entreprises moyennes. Qui fichent les employés de banque mis à la retraite pour faire le travail de contrôle et d'attention aux intéressés.

Rajoy n'apprend pas ses lettres parce qu'il a seulement celles que tout le monde connaît : baisser le prix d'un licenciement et descendre des impôts. C'est-à-dire “que le marché règle par soi même”. Leur sonne-t-il ? Il n'a plus de recettes, rien qu'offre qui n'a pas été expérimenté dans d'autres pays avec gouvernements de droite et de gauches. C'est un globe vide que tous les sympathisants du PP étouffent en l'honneur de la sacrée unité de l'ananas. Mais un espace, Aznar vient en mettant à son pays à baisser d'un âne et des "séparatistes" comme Espoir Aguirre et Francisco Camps, ils s'agitent et empoignent les armes soi-disant contre le Cordonnier mais, en réalité, contre le perdant éternel d'élections : le tr : buno ochocentista Mariano Rajoy.

Thursday, March 11, 2010

Des pensions : Les tribulations de ZP

des travailleurs - pyme-240 C'était une erreur mettre sur la carpette le sujet des pensions dans ce moment parce que, soi-disant, dans vingt ans nous n'aurons pas assez d'argent pour les payer. ZP a voulu feindre une décision dans le changement de direction pour tranquilliser à l'élite du conservatisme mondial. Et voilà qu'il se permet d'aller à côté du représentant grec comme s'il avouait qu'après les tribulations de Giorgos Papandreu, étaient les siennes en mettant à un danger le crédit du Royaume de l'Espagne.

La capacité d'expliquer les choses s'appelle communication. José Luis Rodríguez Zapatero a perdu la capacité de convaincre parce qu'il écoute seulement ce que le PP dit pour le contredire au lieu d'écouter les gens progressistes de ce pays. Si quelques membres de son parti le préparent argumentarios, il semble les prêter peu d'ou aucune attention.

Nous allons voir : Dans une décennie nous avons passé d'être 40 millions peu abondants à 46 millions d'habitants. Nous avons 4, 3 millions d'arrêtés qui, en suivant le système de travail de l'EPA sont déclarés chômeurs. Les enquêtes sur tout sujet, ont l'habitude de refléter un plus ou moins grand pourcentage d'erreurs selon les questions qui posent les gens. Aucun homme ne va déclarer son impuissance sexuelle et comme il ne se présente à aucun urologue ou sexólogo, le degré d'erreur est beaucoup plus élevé que celui que les encuestadores avouent. Demandé de l'encuestador, la famille ou le propre "chômeur" va-t-il avouer qu'il travaille clandestinement ? Il y a des gens qui travaillent par son compte, en touchant sans TVA et en complétant ainsi l'arrêt ou toute autre aide existentielle.

Nous avons théoriquement un nombre d'arrêtés inférieur envers celui de population immigrante qui a élevé 46 million les habitants de ce pays. Nous avons aussi passé de 16 millions d'actifs à 22 millions. Dans un post précédent j'ai parlé de la différence de densité en France et en Espagne. Pour avoir la densité de la France (dès une étendue similaire jusqu'à celle de l'Espagne), nous aurions besoin 109 habitants par un kilomètre carré au lieu de 91 que nous ayons actuellement. De cette façon, nous aurions 55 millions d'habitants. Contre ce qu'ils prêchent les xénophobes, nous avons besoin encore 9 millions d'immigrants ou des naissances d'autochtones.

Si avant la crise, les pensions avaient une réserve juteuse d'euros, quand il tournera la croissance de l'économie espagnole et générale, nous reviendrons à des taxes d'épargne pour protéger les pensions au-delà de 2030. Mais il est si rentable mettre de la peur des grand-pères! Le Parti de droite va pour toutes. La Moncloa ne l'intéresse pas dans 20 ans … elle la veut DÉJÀ! … : “Baiser quelle troupe!” (M.Rajoy dixit)

Écarté comme problème l'hâte d'élever l'âge de mise à la retraite de 65 à 67 ans : Quand Rodríguez Zapatero va se rendre compte Josá Luis que ce qui est oui urgent consiste en ce que son gouvernement octroie directement les crédits aux petites entreprises moyennes qui ne jettent pas pas seulement mais ils offrent un travail à un ou deux nouveaux employés au moins. En 2008 nous avions 3.414.779 petites entreprises moyennes comprises entre 0 et 249 salariés. (Un répertoire Central d'Empresas-DIRCE) Les micro-entreprises représentent 94 % de la masse de travail, la petite 5 % et la médiane 0,7 %. Un total 99,7 % de la masse de travail espagnole. S'occuper à relancer le secteur de l'automobile, celui de la banque ou de celui des télécommunications est important mais nous voyons que le petit entrepreneur, à qui les institutions financières refusent des crédits, est plus habilité à absorber arrêtés.

Des journalistes ou tremendistas ?

ZPyObama-240 Il est incroyable, le nombre de journalistes espagnols qui se jette à la piscine sans vérifier s'il a de l'eau ou est vide. Avant de lire la presse étrangère et avant de sortir des conclusions sur la vision qui existe là d'une situation que nous atañe nous avons déjà lancée des titulaires surchargés d'idéologie et spécialement alarmantes. Nous nous sommes contentés de jeter un coup d'oeil à ce que vont obtenir un titre les rivaux et, s'il est possible de mettre un peu plus de tremendismo qu'ils. La moralité “dont il vient le loup …” se doit pas déjà compter les enfants, il ne fait pas de partie de l'éducation infantile. Au moins les jeunes journalistes ne le rappellent pas.

Il vient à un conte cette tirade parce qu'en Espagne, certains l'ont interprétée non venue d'Obama en mai au Sommet UN EU - UE comme un a méprisé le Cordonnier. La Maison Blanche a déclaré qu'il n'était pas prévu il se présentera au sommet par son agenda lourd. Les américains considèrent que sa priorité est Asie après avoir réalisé un bon nombre de voyages en Europe dans sa première année d'ordre. Pour la crise, la presse américaine considère que l'Union Européenne est un allié indispensable. Il faut se présenter à une presse pour responsabiliser au Cordonnier de l'absence du président américain au sommet des EU - une UE.

Dans la presse espagnole, le fracas de l'Ibex dans la Bourse espagnole, est attribué à l'annonce préalable de Bottine du gain du Santander de 9.000 millions d'euros en 2009, en le considérant obscène. Qu'est-ce qu'il dit “Je l'ai Épluché” de Paris ? : “Les marchés financiers attaquent à l'euro et menacent la récupération [économique]. Une chute des Bourses, de fortes tensions sur des niveaux d'intérêts et sur les devises : les marchés financiers nouvellement dans une crise. La Bourse de Paris s'est ouverte avec une forte chute, le vendredi 5 février, après avoir perdu 2,75 % la veille. “Leur marchés financiers attaquent l’euro et menacent le reprise. Un coup de balle donne Bourses, fortes tensions un sud leur taux d'intérêt et un sud leur devises : leur marchés financiers sont à nouveau dans crise. La Bourse de Paris à ouvert dans forte baisse, vendredi 5 février, après avoir déjà perdu 2,75 % le veille.”

Ce texte est celui qui sortira dans Je l'ai Épluché d'un lendemain un samedi, actuellement au cours d'une confection. Dans son Éditorial : "L'euro irrésolu” dit : “L'Europe a commis, au moins une erreur. Ne pas avoir examiné de près les budgets d'État des États membres, spécialement ceux de l'euro-zone.” (“Europe à au moins commis unit erreur. Celle de ne pas regarder d'assez près comptes publics donne Etats membres, notamment ceux du zone un euro.“)

“Donner une tige au gouvernement” est une recommandation bonne de l'enseignement du journalisme mais beaucoup plus important il est d'apprendre plus le français, l'anglais et une langue comme l'allemand ou le portugais et l'italien – bien que ces deux derniers, par sa proximité avec l'espagnol ne requièrent pas trop d'effort. Avant le proverbe fameux italien “Piove (pleut) … : porco governo!” il faut examiner comment les collèges de l'étranger ont vu une information pour que nous n'interprétions pas de sujets d'importance internationale dans une clé nationale.

L'une des manies de notre actuelle presse est de comparer l'économie au sport. Nous passons il y a quelques années d'être les champions de la croissance européenne grâce à l'hipertrofiada la production de logements, qui additionnaient tant comme tout le reste d'UE de notre ranking, à être maintenant les derniers à sortir de la récession. On fixez le parcours que nous avons fait en 2009, de dernières données disponibles : Par des trimestres,-1,6/-1,1/-0,3/-01 une progression constante depuis le premier trimestre de 2009. Le Royaume-Uni a fait +0,1 dans le IV trimestre (Le Pays, un samedi 6 février). Le logique consiste en ce que l'Espagne passe la barrière pour se mettre dans un positif dans le trimestre dans lequel nous sommes.

Dans Le Stampa de Torino, le prix Nobel d'Économie 2001 Joseph Stiglitz a déclaré “Ils font de l'argent sur la catastrophe qu'eux mêmes ont créée”. Et voilà qu'il ajoute : “les grandes finances utilisent les bas intérêts pour spéculer”. Nous sommes-ils étonnés qu'une banque de Santander apparaisse avec bénéfices et 9.000 millions d'euros en 2009 ? Tout le monde rappelle comment George Soros a gagné une fortune en jouant contre la Livre sterling. Dans ce moment, la faiblesse de l'Euro n'est pas l'Espagne mais la Grèce. D'un autre côté Stiglitz se demande pourquoi il ne prête pas le BCE aux Gouvernements au lieu de prêter aux banques. Un autre point intéressant est son insistance dans laquelle le déficit n'est pas le problème le plus important qui a un pays. Il y a d'autres facteurs qui doivent plus préoccuper.

Contre la déclaration d'incapacité du Juge le Jeune garçon

Par son intérêt, et avec autorisation de Rosa Marie Artal, son auteur, je reproduis ce post qu'ils peuvent suivre dans son blog

Le Périscope.

“Avec un énorme souci nous contemplons plusieurs le processus qui peut mener à la déclaration d'incapacité – entre 12 et 20 ans - du Juge Baltasar Garzón par une prévarication supposée dans la cause qu'il a commencée contre les crimes du franquisme. Le juge instructeur de la Salle du Pénal du Cour suprême a repoussé classer son cas et le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire a commencé les formalités pour écarter au magistrat de sa charge comme mesure de précaution.

En 2008, le Comité de Droits de l'homme de l'ONU, elle a recommandé à l'État espagnol l'abrogation du preconstitucional, la Loi d'Amnistie de 1977, invoquée dans la prévarication. De nombreux pays ont révoqué le long de son Histoire ses lois de l'impunité dictées dans des moments de pression et ils ont mis en accusation les coupables de coups d'État et de dictatures subséquentes – c'est le cas de la loi “d'un Point Final” en Argentine, entre les autres-. En Allemagne qui, beaucoup plus loin d'une guerre civile, a souffert le totalitarisme causant d'un conflit mondial, ses lois strictes interdiraient des formations des ultra-droits comme qu'ont présenté la plainte contre le Jeune garçon et elles ont été écoutées. Toute compréhension du nazisme est punie par prison en Allemagne.  (…)”

Ce blog adhère à toutes celles qu'initiales elles sont prises dans la défense du juge qui a poursuivi le GAL mais il a inlassablement combattu aussi contre ETA et son environnement, il a découvert la corruption de gauches et de droite. Avec 15 ans, j'ai assisté au jugement de mon père dans lequel un Tribunal Militaire franquiste demandait une peine capitale contre il et d'autre douzaine d'accusés. Son crime : avoir été gouverneur civil de Segóvia quand Alejandro Lerroux a été Président du gouvernement de la République jusqu'au triomphe du Front Populaire en février 1936. Mon père a été libéré deux ans après sa détention. Il ne lui a pas été rendu, son Agence “Presse Mondiale” et son programme radiophonique “Quotidien Hablado de l'Europe”, les deux destinés aux médias latino-américains. Il est mort sans que ne lui réintégrât son agence. Un survivant et un témoin, Carles Sentís, le monument du journalisme catalan qui encore aujourd'hui peut témoigner de tout ce qui est venu d'exposer parce qu'il a fait une partie de cette rédaction du rue de la Paix, au Paris occupé par la barbarie un nazi, á côté de Juan Bellveser, Alvaro de Laiglesia et Julián Cortés Cabanillas.

Wednesday, March 10, 2010

Des anecdotes d'un “Apartheid”. Consacré Envoyez-la

En août 1956 et février 1975 j'ai voyagé ces deux fois en Afrique du Sud. Dans la première occasion, l'"Apartheid", ce que les supremacistas dénommaient “a séparément développé” des races blanches et noires, il avait 8 ans d'existence. Dans la deuxième occasion, avec “Les Reporters” de TVE, la ségrégation ou bien l'ère totale. Des plages, des taxis, des autobus, des restaurants, des hôtels, des quartiers, la séparation était absolue et imposait les lois à la lettre. Toute relation sexuelle entre blancs et noirs, même des mulâtres, était durement punie. La solution unique était de se présenter les week-ends à la voisine Rhodesia del Sur (aujourd'hui le Zimbabwe) que, étant encore dominé par les cibles, il n'obligeait pas aux hôtels d'origine américaine, à pratiquer la ségrégation. Les week-ends de sexe interracial étaient si sollicités qui obligeaient à réserver une pièce avec mois d'anticipation.

Le Gérant de nuit de l'Holiday Inn du Le Cap, était un suisse qui n'aurait plus de 24 ans quand il m'a compté ses premiers mois en Afrique du Sud. “Une nuit fermée, il conduisait mon Volkswagen sous une pluie torrentielle par les environs de la ville. L'essuie-glace ne réussissait pas à me prendre l'eau assez vite comment pour voir la route. Subitement, un fort coup m'a brusquement obligé à freiner et à m'arrêter. J'ai prié parce que c'était un animal tandis que je suis sorti du véhicule pour voir ce qui était. Il avait renversé un noir. J'ai vérifié qu'il était mort et, comme bon citadin suisse, je l'ai laissé dans l'endroit sans le bouger, j'ai contrôlé mon indicateur de vitesse pour placer le lieu, et je suis parti à la recherche d'un commissariat.”

Quand il a finalement atteint un poste de la Police de Routes, a trouvé un employé unique en lisant le journal avec les pieds sur la table. “Demain nous enquêterons sur le cas … Ici, il a un magasin qui bande des liqueurs envers le tour du coin. Achetez un "porte-cigarettes" du pire cognac grec, le plus bon marché. Rentrez au lieu de l'accident et aspergez le mort. Demain nous dirons qu'il était bu et qu'il s'est jeté contre son véhicule. Váyase tranquille”.

À environ 120 kms au nord de la Ville du Le Cap se trouve l'une des baies les plus parfaites du monde, de Saldanha, ainsi baptisé par les navigateurs portugais du XVe siècle. Ils n'ont pas pu installer là son échelle principale dans la route des Indes orientales parce qu'il manquait d'une eau potable. En 1652 les Hollandais ont fortifié le Le Cap avec le fort de Bon Espoir. Les légumes et les fruits ont pallié les dommages du scorbut. En 1975 Pescanova et sa co filiale - communiquée Est Food Harvest Ltd, ils dominaient Saldanha avec la présence de 400 marins galiciens, quelques indigènes et une douzaine de navire-usines. Le Capitaine du port de Saldanha s'appelait … “Nemo“.

Avec une certaine fréquence, les marins espagnols allaient d'une permission au Le Cap où il y avait beaucoup de distraction dans le Waterfront. Un groupe de six ou sept galiciens dirigeaient ses pas vers la zone de bars. Dans un moment donné, devant une vitrine, l'un d'eux est resté retardataire. Quand il a voulu donner une portée au reste, les autres avaient doublé le coin et il n'a pas réussis à les trouver. Dans ce moment il a été attaqué par une paire de xhosas à une pointe de couteau et il dépouillé de sa montre et d'argent. Comme il a pu, en faisant un auto-stop, il est rentré à Saldanha Bay.

Une paire de jours plus tard, appuyé dans la rampe de son navire de Pescanova, le galicien contemplait distrait le brouhaha des arrimeurs et l'arrivée de provisions pour le partanza imminent de la flotte. Tout à coup, entre les chargeurs, le marin a reconnu le xhosa qui avait attaqué deux nuits avant au Le Cap. Il a couru à la cuisine et il s'est armé d'un bon couteau. Quand il a atteint et a tenu l'homme, cela a proclamé épouvanté qui se trompait qu'il n'était pas allé au Le Cap depuis hacía des semaines et qu'était innocent. La montre de l'espagnol dénonçait le voleur dans son poignet. En ne pouvant pas récupérer son argent, le marin a tué le noir. Conduit devant le juge quelques jours plus tard, il a été condamné à une amende par 12 rands, environ 15 dollars de celui-là alors. “Mais ne croyez pas que va lui sortir si bon marché la prochaine fois!”. Le policier blanc qui lui rendait ses biens, a chuchoté le marin :” Il pourrait te coûter même trois fois plus!”

L'Espagne pleureuse

ojollorando-240 Un psychiatre, un sociologue, un communicateur en recherche des idées pour son tesina devrait prêter une attention à tout ce qu'ils nous offrent les journaux télévisés et les autres de renseignements, n'importe lequel qui est la chaîne, en partant du principe dont c'est le milieu majoritaire que les Espagnols ont pour apprendre ce qui succède dans le monde. Je leur recommande d'observer les visages, les tons de voix et la rédaction des nouvelles ainsi que la réitération de certains ad nauseam. Le visage déprimé est cherché, le personnage qui regarde perdu à la chambre, au drame. Contre plus déprimé le personnage, intéresse plus le jeune informateur.

Le sérieux excessif et habituel de certains, il invite au rire parfois et encoje le coeur dans les autres. Le ton a l'habitude d'être apocalyptique parce qu'il se croit que c'est la meilleure manière de fidéliser le spectateur, d'éviter le zapping. “Observez bien ce qui a succédé à ce citadin …” le plus probable consiste en ce qu'il s'agit de l'expulsion d'un logement propre ou occupé, d'une hutte misérable. Les gens sont au chômage. Les visages les plus angoissés sont cherchés. “Je ne sais pas ce que nous allons faire … je suis donné … je n'ai pas d'arrêt …”

Cent idées m'assaillent. Pourquoi ne vois-je pas ce désespoir dans le visage, dans le regard des milliers d'immigrants qui marchent sans direction par nos rues ? Je pense que leur succède le même que mais, de plus, allende de la mer ils ont la famille qui dépend d'eux pour survivre envers les Espagnols. Ils sont exemplaires. Ils ne se rebellent pas, ne crient pas, n'arrêtent pas de sourire bien qu'il soit amèrement, ne regardent pas comme les Espagnols que ce sont des lévriers battus.

Où est le courage des enfants et de petits-fils de ceux qui se sont jetés à l'exil volontaire ? Nous voyons un reportage de TVE en montrant ces trains des migrations intérieures et extérieures de l'Espagne de la dictature. Des valises avec cordes, miche de pain, omelette et botte de vin, des trains de troisième qui plantaient ses bois au corps. “Le sévillan” parcourait les mille kilomètres qui séparent la capitale sévillane de Barcelone … : à 15 heures! Imaginez-vous ceux qui allaient jusqu'à l'Allemagne. Le contraste entre les Espagnols d'âge moyen et les étrangers d'années pareilles qui sont venus à cultiver un avenir à notre pays est notoire.

Si j'étais le jeune espagnol dans un arrêt, je partirais pour tout pays où il pouvait apprendre des langues en même temps que je s'en tirais avec toute espèce de travaux élémentaires : garder des enfants, apprendre l'espagnol, aider dans un commerce familier, faire des cours de mathématiques ou vendre dans la rue, T-shirts, les plats précuisinés, les livres, ce qui m'est de se résigner moins et de regretter ma mauvaise chance. Je me rappelle deux garçons espagnols qui, sans argent à Istanbul, ont acquis un guide de la ville en espagnol et ils se sont plantés dans la porte d'un hôtel de luxe. Les parcours et ses monuments étaient étudiés et tout de suite, quand ils écoutaient parler un groupe espagnol qui sortait de l'établissement. ils s'offraient “comme les guides qui parlaient bien castillan”. Ils m'ont apporté cette histoire à la rédaction “Des Aventuriers”. La nécessité est la mère de toutes les inventions.

Argumentario du PP : “raca, raca, raca!”

Aznarpeineta-240 Il est possible que José Luis Rodríguez Zapatero soit un têtu, qui n'est pas descabalgarle facile même si tout le PP se met à cela. Mais il faut reconnaître que Mariano Rajoy ne reste pas aux arrières. Ils reprochent ZP le fait d'avoir changé de nombreuses fois de plan pour affronter à la crise c'est-à-dire selon ceux-ci, pour être une girouette sans idées fermes. Certains considérons que, devant une crise très beaucoup plus grave et différente de toutes les autres connaissances, il n'y avait pas de feuille de route. Dans toute catastrophe naturelle, le premier qu'il faut sauver ce sont les vies, après les biens matériels. C'est ce que le président du gouvernement a fait.

Le PP offre son appui au gouvernement chaque fois que les socialistes renoncent à ses signes d'identité et approuvent le programme électoral du PP. Révéler la formule pour résoudre la situation de 20 % d'arrêt qui est dit a l'Espagne, on ne peut pas faire parce qu'ils resteraient désarmés devant les élections générales de 2012. Elle produit une hilarité, l'interprétation des enquêtes qui donnent un gagnant sur le PP. Dans des zones comme l'Andalousie, on peut penser qu'ils ont la nostalgie le “señoritismo” traditionnel. Rien de plus erroné. Le jour des élections, certains voteront Javier Arenas et sa proposition de descendre des impôts aux riches et de défendre le licenciement libre.

La droite du PP croit aux formules traditionnelles qu'il considère éternellement valables. De là ce composant évangélisateur que les ministres prêchent in pectore de Rajoy en faisant un choeur au Maître. La baisse d'impôts et le licenciement dispense l'américaine, ils constituent le baume de Fierabrás avec lequel le Parti de droite pense résoudre les problèmes auxquels l'Espagne affronte, plusieurs desquels sont identiques à ceux d'autres pays mais ceux que de plus nous avons à ajouter les nôtres spécifiques. En ce qui concerne “d'abord sauver des vies”, la droite a confiance toujours plus en charité qu'en justice : Les revenus de l'Église par la "Xe" de la déclaration de revenus, ont été un éxitazo : 11.000 millions d'euros plus d'espéré donnée la crise. Plus que le correspondant à tous ces oenegés laïques.

“Les pays de notre environnement et semblé un poids ils sont déjà sortis de la récession et de nous non”. J'évite de dire “un Mensonge“ pour ne pas utiliser l'argumentario de Gênes. Je dirai qu'ils ne disent pas la vérité. En 2009, l'Allemagne a un dernier trimestre avec O % de PIB sur le précédent; l'Espagne-0,1; la France 0,6; l'Italie-0,2 et le Royaume-Uni 1. Nous sommes troisièmes de 4 résultats. Il gagne la Grande-Bretagne et l'Italie de Berlusconi reste dernière.

Si nous comparons chaque trimestre de 2009 à son équivalent du 2008, le meilleur résultat obtient la France (-3,5-2,7-2,3-0,3) et-2,2 en considérant 2009 sur 2008. L'Espagne reste la deuxième (-3,2-4,2-4,0-3,1) 2009/2008 =-3,6; l'Italie est troisième (-6-5,9-4,6-2,8)-4,8. La quatrième Allemagne (-6,7-5,8-4,8-2,4) qui s'améliore conformément arrive au dernier trimestre mais il en finit avec une perte de PIB de-4,9. En dehors de l'Eurozone, le Royaume-Uni (-5,2-5,8-5,1-3,2)-3,2 en face du nôtre-3,1 ne justifie pas qu'ils jettent tant de fusées, qui nous ridiculisent si son-4,8 d'année sur une année l'égalisation en Italie. R.U. et l'Italie il est deux heures de 5, en considérant les données finales de 2009 comparée avec 2008. (Eurostat nº02/2010 distribué 18 février 2010).

Quand nous voyons dans une télévision comment parlent les grecs de sa situation désastreuse, ils mentionnent toujours l'économie submergée comme étant un facteur très important. En Espagne, tout le monde évite parler d'elle ou méprise son importance. Jusqu'à quelques membres du gouvernement ils la nient. Du 2e à 23 pour cent de notre économie elle est enfoncée. Le bas du reste d'UE est de 15 %. Si l'Espagne arrivait à réduire cette économie au bas de l'Europe, nous créerions 2,5 millions de postes. La France, qui a aussi souffert ce phénomène, l'a réduit avec l'interdiction d'émettre des chèques au porteur à partir des certaines quantités.

Je suis d'un caractère cartésien et d'une éducation et par cela je cherche quelle peut être la raison par laquelle les banques semblent ne pas donner de crédits. Je crois que la crise a laissé beaucoup de travailleurs dans la rue, spécialement les relatifs au secteur immobilier. Comme corollaire, ils ont perdu l'étage dans lequel ils avaient enterré la plupart de son économie. Des banques et des Caisses d'épargne se trouvent maintenant alors son affaire traditionnelle de prêter de l'argent avec intérêts, il passe au deuxième terme en étant le premier, payer être défait dès des milliers de logements jusqu'à un milieu. Il est certain que cet actif ne vaut de plus de 50 % du prix qu'il a eu quand tous représentions la comédie des tromperies. Si les banques aident maintenant aux petites entreprises en leur accordant des prêts, il n'existe pas la sécurité dont les travailleurs pareils faits du bien, recommencent à demander des crédits jusqu'à ce que passe la peur collective. Qu'est-ce qui intéresse aux banques ?

Le parc de logements à des mains de banques et de caisses d'épargne transforme à ces institutions financières chez des rivaux des Agences immobilières à l'heure de captent des acheteurs. Les possibilités d'offrir un crédit aux opportunistes acheteurs du moment, sont tout du côté de ceux qui profitent du bas prix de l'argent de la banque Centrale Européenne (BCE) et ils ont institutionnellement cette porte ouverte. L'aide au système bancaire, dont tant il parle le gouvernement et tant il tait le Parti de droite, sert à réduire son parc de logements en offrant des hypothèques de jusqu'à 100 % sur des étages baissés dans un 40/50 %. Pendant ce temps, les agences immobilières, et les nombreuses industries auxiliaires qui dépendent d'elles, se désespèrent en attendant son tour pour disposer des crédits et d'un pouvoir vendre ses stocks, terminer des oeuvres timides ou commencer de nouveaux projets.

Iñaki Gabilondo a raison en dénonçant le contresens qui existe dans la dialectique du premier parti d'opposition quand se remplit la bouche “d'unité de l'Espagne” et réclame toutes les solutions à l'"administration centrale". En même temps ils jouent la lettre du "séparatisme" des autonomies du PP, spécialement Madrid et Valence, la Galice à un moindre degré. 60 % de la dépense dans l'Espagne correspond aux autonomies. L'austérité est chose de tous. Les autonomies sont l'État et s'ils doutent de cela qui le se demandent à Manuel Fraga Iribarne qui s'est lassé de dire, et avec juste raison, qu'il était l'État en Galice qui gouvernait alors.

Après les huées de quelques étudiants à José Marie Aznar dans l'Université d'Oviedo, et la réponse du peigne que l'ancien président du Gouvernement leur a consacré, plusieurs de ses partisans se sont jetés à critiquer le Cordonnier pour ne pas être sorti pour condamner l'attitude des étudiants. Il faut rappeler que ZP et le roi sont sortis dans sa défense contre Hugo Chávez, dans la clôture du XVII Sommet Latino-américain qui était clôturé au Chili en novembre 2007. Le leader vénézuélien a nommé “fasciste“ Aznar. Cela remercie pour ce geste en appelant “une pyromanie“ à l'actuel président Rodríguez Zapatero. Le PP a un problème très sérieux avec la loquacité de son président d'honneur. Où reste le patriotisme des bretelles et de poignets de force bicolores ?

Tuesday, March 9, 2010

Fidel : "L'Histoire ne t'acquittera pas”

orlandozapata-240 Je ne réussis pas à éviter la comparaison de votre histoire initiale, la tienne, celle de Raúl et celle de tant les autres, avec celle de ceux qui sont en désaccord en Cuba d'aujourd'hui. En 1952, un coup d'État non sanglant en Batiste t'a poussé à se lever dans des armes contre le dictateur que violentaba la Constitution. Le 26 juillet 1953, c'était un dimanche et deux cents hommes sous ton commandement se disposaient à assaillir la Caserne Moncada du Santiago de Cuba en profitant qu'un bon nombre de soldats parcouraient bus par les fêtes de l'apôtre, patron du Santiago de Cuba. Il y a eu des morts par les deux côtés et l'assaut a fini en échec. Les survivants sont restés à des mains en Batiste. Dans le jugement tu as proclamé que “l'Histoire t'acquitterait”. Maintenant, des doutes sérieux existent.

L'attaque à une caserne, de la part de deux centaines de civils, avec des soldats morts, a été un bombardement au milieu du Caribe indolent. C'est ce que tu cherchais pour attirer l'attention sur l'usurpation du pouvoir et l'attentat à la liberté de la part de l'ex-sergent, Fulgencio Batista Zaldívar. T'es défendu toi même comme avocat et l'intervention de Monseigneur Pérez Serantes, Archevêque du Santiago, qui t'avait baptisé, la vie t'a sauvé. Tu as eu un juge impartial, Manuel Urrutia Lleo, que tu nommerais Président de la République en janvier 1958.

Orlando Zapata Tamayo, de 42 ans, est mort après 86 jours de jeûne dans une protestation par le traitement qui donne dans en prison de Kilo 8 de Camagüey aux prisonniers de conscience, plusieurs desquels sont tombés dans les coups de filet de 2003 et que, comme dans le cas de l'Orlando, ils faisaient une addition jusqu'à 25 ans de prison pour exprimer différentes opinions sur celles du régime. Le souvenir qu'en 1953, les survivants vous avez été emprisonnés dans Isla de Pinos où n'avez passé plus de 19 mois toi et quelque plus de tes collègues du Moncada. Il faut rappeler que vous avez produit des morts entre les soldats. Vos conditions de vie dans le pénal n'ont pas été si mauvaises quand tu as créé l'Académie Abel Santamarí dans celle que, comme le professeur unique, tu dressais aux hommes appelés à te suivre à l'exil mexicain en Mai 1955.

Avec ces précédents, vous devriez avoir été plus magnanimes avec les prisonniers du Printemps Noir auquel vous avez voulu donner une leçon. Un fondateur d'Alternative Républicaine, le maçon Orlando Zapata Tamayo devenait un ennemi du peuple pour ne pas se plier aux consignes du régime et pour vouloir penser par soi même. Pourquoi n'avez-vous pas expulsé les prisonniers de conscience comme il a fait de la Batiste avec vous ? Vous l'avez laissé mourir dans sa grève de la faim de 86 jours. Dans tout pays civilisé, “c'est un délit ne pas prêter d'assistance à une personne dans un danger de mort”. Je vous ai dit que vous avez fait le mal dans n'a pas laissé sortir Yoani Sánchez pour recevoir son Prix Ortega et Gasset. Maintenant vous avez frisé la boucle. Nous croyions plusieurs à la possibilité d'une Transition pacifique. Aujourd'hui je doute qu'il soit possible. Dans tout cas, un autre galicien illustre, Francisco Franco, consolidait avoir laissé tout “paquet et bien attaché”, ne croyez pas que vos noeuds vont être plus forts et durables.

L'optimisme sert-il de quelque chose ?

Un fils d'un hypocondriaque pathologique, je suis né dans la semaine convulsée du Crack de 29, vécu l'occupation allemande de Paris, et survécu à l'embargo général contre la dictature de Franco et la pénurie alimentaire, loin d'a fait de moi un homme amer ou sceptique, tout cela m'a transformé en exemplaire splendide de l'optimisme. Le long de 80 ans je me tannais dans la philosophie du positif comme la meilleure forme unique de survivre et de créer.

Il y a une semaine, mon reporter grand et ami, Jon Lee Anderson est venu à me voir à une maison. Nous bavardons près de deux heures, jusqu'à ce qu'il eût à sortir pour Caixaforum où il prononçait une conférence. Je lui ai demandé : “Rappelles-tu un personnage que j'ai figuré dans les livres d'Histoire et qu'un pessimiste a été notoire ?” Ils se sont écoulés quelques minutes en silence tandis qu'un sourire faisait des avances dans ses lèvres tandis qu'il réfléchissait. : “Il est vrai, un oncle … je ne trouve aucun!”

Le découragement conduit à la dépression et est nulle part. L'actuelle situation économique, internationale et nationale, il a laissé l'Espagne abattue et désorientée. Nous les avons passées canutas dans ce pays tandis que nous tirions en avant et tout celui qu'il a plus de 60 ans peut le certifier. Nous sortions de tout, en jetant beaucoup de courage lui. Mais nous avons les hommes politiques et les communicateurs qui se délectent dans une situation qu'ils amplifient interesadamente.

Un groupe d'entreprise des espagnoles de la première ligne, ont eu l'idée de dessiner une campagne publicitaire pour encourager les Espagnols à consommer. Avec ma pension modeste pas contributive de 336,33 euros, je me suis fatigué de dire dans ce mon blog que se mettre à faire des économies maintenant est d'aider qui accomplit le malheur que nous voulons éviter. Tout de suite il a sauté un groupe de critiques qui ont dénoncé l'invitation à dépenser pour relancer le commerce et pour sauver beaucoup d'entreprises, de la taille qui est. Qui la Compagnie téléphonique, la Coupure Anglaise, la banque de Santander, de l'Iberia dépensent de l'argent en invitant les Espagnols à consommer cela quelques neo-directions le n'ont pas supportés. Pour ceux-ci, il l'accuse de toute la catastrophe économique, il est à ceux qui sponsorisent le “spot”. Il fallait dire au Capitaine du “Titanic” : "Vous nous avez mis dans cela … puisque sortez-nous d'ici. Nous n'allons pas payer ses erreurs!”

Un peu de bon sens! Quelqu'un s'est-il plaint dont les comptes de résultats des grandes entreprises bénéficient pour investir dans le sport espagnol ? Une voix a-t-elle dit qu'acheter Kaka, Chrétien ou tout autre crack du football enrichit plus Joan Laporta ou Florentino Perez ? Quand on demande à ces entreprises de collaborer à la recette d'aides pour endommagés de telle ou autre catastrophe : se sont-ils scandalisés, les gens dont cela déborde publicitáriamente au bénéfice des grandes entreprises et ses dirigeants ? Peut-on imputer à El Corte Inglés la crise que nous souffrons ? D'à pied aucun Espagnol n'avoue-t-il avoir vécu au-dessus de ses moyens ? Tous sommes coupables d'avoir convaincu de qui les nôtres un logement coûtaient une fortune. Nous étions déjà tous Allemands mais en faisant des briques au lieu de plus faire de la recherche dans de hautes technologies.

Elles sont les petites pymes et les autonomes qui paient cela 14 % d'économie que les Espagnols mettent dans son livret de caisse d'épargne par la peur d'un avenir dans lequel ils pourraient rester sans travail. Ainsi seulement nous obtiendrons que la prophétie s'accomplisse et restons sans travail. Cette campagne dont nous pouvons entre tous, essaie de pousser les Espagnols à aiguiser le génie.

Je connais les femmes au foyer qui cuisinent de la nourriture pour mener, les étudiants qui avec sa bicyclette font du coursier qu'ils apprennent aux autres qui savent moins, agricoles comme Juanpi qui vend depuis Almería des tomates bas Soloraf de ses cultures plastique, directement le public. Créer les journaux digitaux de quartier, en plus des nouvelles de la zone, qui annoncent de petits commerçants, Il faut s'ouvrir blogs où les uns et les autres nous donnons des idées pour résoudre, pour le moment, des possibilités d'entreprise. J'offre une section, dans ce blog, pour faire de la publicité pour des expériences et des directions.

Monday, March 8, 2010

Des enfants du mille lait

des immigrants 240 Ils sont venus de toutes parties attirés par une fiction que nous avions créée en Espagne du développementisme effréné en brique et en tourisme. L'Espagne absorbait dans une décennie cinq millions d'étrangers attirés par un Eldorado aussi fragile que tout mirage. Ce que cette invasion a représenté a été beaucoup plus important que nous avons voulu reconnaître. Des milliers d'espagnoles, soumis à la tradition de l'homme en apportant l'argent à une maison où il passe les menottes à l'une une mère de famille vivait soumise à “Votres Travaux” (S.L). comme il figurait dans le casier “d'une profession“ de la génération précédente, ils ont pu sortir pour chercher un travail en dehors d'une maison.

Les immigrants, spécialement les femmes sud-américaines, ont allégé les travaux du foyer ou du soin des malades et plus grands d'une classe un bas - baisse espagnol, ils sont allés mieux je l'ai taxée d'une natalité de notre pays, ils ont permis la création d'affaire qu'ils n'existaient pas avant en Espagne : des restaurants de cuisine exotique, des magasins de produits d'autres terres, des salons de coiffure africains, un enseignement des langues, des collèges nationaux, des services extra-bancaires pour des transferts, des parloirs, des agences, des agences de voyages, etc. …

Nous avons reçu plus de gens de dehors dans 10 ans que celle qui est restée sans travail dans les 2 dernières années. Pas tous ceux qui sont partis pour l'arrêt sont ceux qui provenaient de l'immigration. De ce, quelques Européens de l'Est sont rentrés à ses pays en profitant qui reçoivent de Bruxelles des fonds pour le développement. Certains sud-américains et africains sont revenus à sa terre. Ils se sont accrochés au terrain avec nous et endurent l'averse. Les Espagnols nous avons vécu des épisodes très durs entre 1936 et 1964 et quand nous avons émigré nous avons esquivé les tempêtes qu'ils ont jetées nous.

La xénophobie n'est pas une caractéristique espagnole. Nous mêmes sommes descendants de mille des croisements bien que nous ayons la tendance d'être obsédés des puretés de sang, les RH négatifs ou des identités. Nous sommes enfants de mille lait. Et c'est les “half-breads”, le mélange de races, ceux qui ont créé le Brésil splendide moderne. L'émigrant a l'habitude de triompher parce qu'il est capable de faire dans une terre étrangère ce qu'il n'oserait jamais réaliser, par une fausse honte, dans sa propre terre. Il s'accroche au terrain comme une patelle parce qu'il ne veut pas rentrer vaincu à son village. Ils ne viennent pas à prendre des postes aux autres et oui ils représentent une perte de citadins précieux dans ses pays d'origine s'ils ne rentrent pas pour collaborer à son développement.

Les enquêtes sont claires. L'Espagne est plus xénophobe qu'il était présumé. La première crise apparaît et déjà salez la haine depuis le meteco. Des nazis nous ont semblé monstrueux les théories et nous avons été étonnés que tant d'Allemands, le peuple cultivé où ils existent, approuvassent des lois d'extermination à un fou soi-disant Adolf Hitler. Dans quand apparaît une crise qui met à un danger les postes, cette circonstance est imputée aux étrangers. Dans quelques lieux, comme Salt (Girona), la présence de 43 % d'étrangers dans une population de 35.000 habitants, croyez des problèmes parce que les services sociaux (une santé et une éducation), ils se trouvent incapables de les absorber et, ce qui est pire, de les scolariser dûment de telle manière que les hauts pourcentages ne coïncident pas avec l'école publique tandis que les water-closets et les ordonnées échappent au métissage désiré. Ainsi, ils naissent, les ghettos.