Thursday, March 11, 2010

Des journalistes ou tremendistas ?

ZPyObama-240 Il est incroyable, le nombre de journalistes espagnols qui se jette à la piscine sans vérifier s'il a de l'eau ou est vide. Avant de lire la presse étrangère et avant de sortir des conclusions sur la vision qui existe là d'une situation que nous atañe nous avons déjà lancée des titulaires surchargés d'idéologie et spécialement alarmantes. Nous nous sommes contentés de jeter un coup d'oeil à ce que vont obtenir un titre les rivaux et, s'il est possible de mettre un peu plus de tremendismo qu'ils. La moralité “dont il vient le loup …” se doit pas déjà compter les enfants, il ne fait pas de partie de l'éducation infantile. Au moins les jeunes journalistes ne le rappellent pas.

Il vient à un conte cette tirade parce qu'en Espagne, certains l'ont interprétée non venue d'Obama en mai au Sommet UN EU - UE comme un a méprisé le Cordonnier. La Maison Blanche a déclaré qu'il n'était pas prévu il se présentera au sommet par son agenda lourd. Les américains considèrent que sa priorité est Asie après avoir réalisé un bon nombre de voyages en Europe dans sa première année d'ordre. Pour la crise, la presse américaine considère que l'Union Européenne est un allié indispensable. Il faut se présenter à une presse pour responsabiliser au Cordonnier de l'absence du président américain au sommet des EU - une UE.

Dans la presse espagnole, le fracas de l'Ibex dans la Bourse espagnole, est attribué à l'annonce préalable de Bottine du gain du Santander de 9.000 millions d'euros en 2009, en le considérant obscène. Qu'est-ce qu'il dit “Je l'ai Épluché” de Paris ? : “Les marchés financiers attaquent à l'euro et menacent la récupération [économique]. Une chute des Bourses, de fortes tensions sur des niveaux d'intérêts et sur les devises : les marchés financiers nouvellement dans une crise. La Bourse de Paris s'est ouverte avec une forte chute, le vendredi 5 février, après avoir perdu 2,75 % la veille. “Leur marchés financiers attaquent l’euro et menacent le reprise. Un coup de balle donne Bourses, fortes tensions un sud leur taux d'intérêt et un sud leur devises : leur marchés financiers sont à nouveau dans crise. La Bourse de Paris à ouvert dans forte baisse, vendredi 5 février, après avoir déjà perdu 2,75 % le veille.”

Ce texte est celui qui sortira dans Je l'ai Épluché d'un lendemain un samedi, actuellement au cours d'une confection. Dans son Éditorial : "L'euro irrésolu” dit : “L'Europe a commis, au moins une erreur. Ne pas avoir examiné de près les budgets d'État des États membres, spécialement ceux de l'euro-zone.” (“Europe à au moins commis unit erreur. Celle de ne pas regarder d'assez près comptes publics donne Etats membres, notamment ceux du zone un euro.“)

“Donner une tige au gouvernement” est une recommandation bonne de l'enseignement du journalisme mais beaucoup plus important il est d'apprendre plus le français, l'anglais et une langue comme l'allemand ou le portugais et l'italien – bien que ces deux derniers, par sa proximité avec l'espagnol ne requièrent pas trop d'effort. Avant le proverbe fameux italien “Piove (pleut) … : porco governo!” il faut examiner comment les collèges de l'étranger ont vu une information pour que nous n'interprétions pas de sujets d'importance internationale dans une clé nationale.

L'une des manies de notre actuelle presse est de comparer l'économie au sport. Nous passons il y a quelques années d'être les champions de la croissance européenne grâce à l'hipertrofiada la production de logements, qui additionnaient tant comme tout le reste d'UE de notre ranking, à être maintenant les derniers à sortir de la récession. On fixez le parcours que nous avons fait en 2009, de dernières données disponibles : Par des trimestres,-1,6/-1,1/-0,3/-01 une progression constante depuis le premier trimestre de 2009. Le Royaume-Uni a fait +0,1 dans le IV trimestre (Le Pays, un samedi 6 février). Le logique consiste en ce que l'Espagne passe la barrière pour se mettre dans un positif dans le trimestre dans lequel nous sommes.

Dans Le Stampa de Torino, le prix Nobel d'Économie 2001 Joseph Stiglitz a déclaré “Ils font de l'argent sur la catastrophe qu'eux mêmes ont créée”. Et voilà qu'il ajoute : “les grandes finances utilisent les bas intérêts pour spéculer”. Nous sommes-ils étonnés qu'une banque de Santander apparaisse avec bénéfices et 9.000 millions d'euros en 2009 ? Tout le monde rappelle comment George Soros a gagné une fortune en jouant contre la Livre sterling. Dans ce moment, la faiblesse de l'Euro n'est pas l'Espagne mais la Grèce. D'un autre côté Stiglitz se demande pourquoi il ne prête pas le BCE aux Gouvernements au lieu de prêter aux banques. Un autre point intéressant est son insistance dans laquelle le déficit n'est pas le problème le plus important qui a un pays. Il y a d'autres facteurs qui doivent plus préoccuper.

No comments:

Post a Comment