Sunday, March 14, 2010

Pourquoi il ne peut pas gagner Rajoy

Aguirreyaznar-240 Il n'est pas difficile d'expliquer pourquoi Mariano Rajoy est prisonnier de ses propres contradictions. Ne pensez pas à la médisance qui soutient qu'il n'est pas connu quand un galicien monte ou descend un escalier. Pensez seulement au dilemme dans lequel il s'est déjà enfermé il y a beaucoup d'années. Comme le Vice-président de José Marie Aznar pendant le gouvernement du Parti de droite, a essayé de se maintenir à la marge de la grâce piquante d'enfant gâté de son chef. Un annulaire menaçant n'aurait jamais vu dans un Rajoy éternel adversaire un tribun du XIXe. Mais beaucoup de sympathisants du PP, considèrent qu'il manque “testiculina” dans la direction du parti. Peut-être lui sur à l'Espoir Aguirre.

Quand il dit le PP qui est disposé à substituer “Bambi“, il ne nous expose pas lesquels sont ses recettes pour sortir l'Espagne de la crise. Certains croient que serait imprudent découvrir ses “armes de salut massif” par la crainte que copie un parti socialiste espagnol perdu dans les ténèbres de l'Averno, en donnant des bâtons d'aveugle au piñata. Ces armes doivent seulement voir la lumière du jour quand l'ennemi sera bien battu. Le mauvais consiste en ce qu'Aznar a fait un peu pareil avec notre intervention à l'Irak et nous voyons déjà que c'est la chose unique qui croit encore avoir raison. La majorité des Espagnols nous pensons que comme joueur du Mississippi, José Marie n'avait pas il ni a de prix. À Marial on découvre ce qu'il cache dans le sourire fuyant après la sénilité de sa barbe. Rajoy crie, sans lui vouloir : "Messieurs … : Que je sais seulement que je ne sais rien!”

Pendant ce temps, l'Espoir Aguirre recommence à s'éveiller. Les apparitions récentes de José Marie Aznar dans les médias, ils l'ont rendue à l'activisme "indépendantiste". Il me rappelle au gouverneur George Wallace d'Alabama devant l'entrée de l'Université de Tuscaloosa, disposé à empêcher que s'inscrivait Vivian Malone, la première noire qui cherchait, dans cet État, à se former à un centre exclusivement pour des cibles. Nicholas Katzenbach, assistant du Ministre (Attorney General) Robert Kennedy, est sorti de sa poche un document signé par le Président des EU John Fitgerald Kennedy : Un ordre de mobilisation de la Garde nationale d'Alabama. Une heure pour lui changer l'uniforme bleu pour le kaki de celui des G.I. Et là il a fini le soberanismo de cet état. Pourquoi n'avons-nous pas de lois semblables quand un certain Francisco Camps veut imposer des classes de citoyenneté … mais en anglais ou l'Espoir Aguirre repousse la montée de la TVA ou la loi du Tabac ? Sommes-nous dans une Confédération des États Autonomes ?

Une éducation et une Santé ne sont pas probablement à des mains des Autonomies parce que les mêmes occasions doivent avoir la totalité des citadins. Tous les Espagnols ont un droit à sortir depuis la même ligne de sortie, dans la course de la vie, dans les mêmes conditions. Tout de suite que chacun arrive où ses capacités, volonté ou talent leur permettent. Certes, j'avais comme compris que seul Felipe González avait nationalisé un secteur après sa victoire de 1982 : le réseau national électrique. Les compagnies privées paieraient les cánones correspondants pour que l'État la maintînt dans des conditions. Peut-être les soberanistas catalans auraient économisé les actuels désagréments. Il y a encore, celui qui dit que, nécessairement, le privé fonctionne mieux. Ils ne profitent pas d'une leçon.

Quand Rajoy voit que lui vont bien les enquêtes, on croit qu'il découle de ses qualités d'homme d'Etat. Il croit qu'en suivant même un mantra de descendre des impôts et flexibilizar les contrats de travail, il en finira avec l'arrêt. Il n'admet pas que, étant donné que manquent deux ans pour aller aux urnes, les Espagnols fâchés s'amusent entre-temps en donnant un coup de pied dans le cul à ZP. Le mauvais consiste en ce que, par la peur de sembler "rouge", Rodríguez Zapatero ne s'affronte pas aux banquiers qui, au lieu de donner des crédits aux Pymes, prennent l'argent très bon marché, avec avals de l'État, pour aller acheter les Bons du même État que 4 % rapportent. Depuis longtemps que nous recommandions plusieurs à ZP qu'il accordât des crédits directement à ceux qui ont besoin d'eux d'urgence pour ranimer l'économie. Le même Felipe González disait le 12 mars, dans le Congrès sévillan du parti socialiste espagnol, que ne sont pas nécessaires les 44.000 succursales bancaires pour octroyer les crédits aux petites entreprises moyennes. Qui fichent les employés de banque mis à la retraite pour faire le travail de contrôle et d'attention aux intéressés.

Rajoy n'apprend pas ses lettres parce qu'il a seulement celles que tout le monde connaît : baisser le prix d'un licenciement et descendre des impôts. C'est-à-dire “que le marché règle par soi même”. Leur sonne-t-il ? Il n'a plus de recettes, rien qu'offre qui n'a pas été expérimenté dans d'autres pays avec gouvernements de droite et de gauches. C'est un globe vide que tous les sympathisants du PP étouffent en l'honneur de la sacrée unité de l'ananas. Mais un espace, Aznar vient en mettant à son pays à baisser d'un âne et des "séparatistes" comme Espoir Aguirre et Francisco Camps, ils s'agitent et empoignent les armes soi-disant contre le Cordonnier mais, en réalité, contre le perdant éternel d'élections : le tr : buno ochocentista Mariano Rajoy.

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