Thursday, March 11, 2010

Contre la déclaration d'incapacité du Juge le Jeune garçon

Par son intérêt, et avec autorisation de Rosa Marie Artal, son auteur, je reproduis ce post qu'ils peuvent suivre dans son blog

Le Périscope.

“Avec un énorme souci nous contemplons plusieurs le processus qui peut mener à la déclaration d'incapacité – entre 12 et 20 ans - du Juge Baltasar Garzón par une prévarication supposée dans la cause qu'il a commencée contre les crimes du franquisme. Le juge instructeur de la Salle du Pénal du Cour suprême a repoussé classer son cas et le Conseil Général du Pouvoir Judiciaire a commencé les formalités pour écarter au magistrat de sa charge comme mesure de précaution.

En 2008, le Comité de Droits de l'homme de l'ONU, elle a recommandé à l'État espagnol l'abrogation du preconstitucional, la Loi d'Amnistie de 1977, invoquée dans la prévarication. De nombreux pays ont révoqué le long de son Histoire ses lois de l'impunité dictées dans des moments de pression et ils ont mis en accusation les coupables de coups d'État et de dictatures subséquentes – c'est le cas de la loi “d'un Point Final” en Argentine, entre les autres-. En Allemagne qui, beaucoup plus loin d'une guerre civile, a souffert le totalitarisme causant d'un conflit mondial, ses lois strictes interdiraient des formations des ultra-droits comme qu'ont présenté la plainte contre le Jeune garçon et elles ont été écoutées. Toute compréhension du nazisme est punie par prison en Allemagne.  (…)”

Ce blog adhère à toutes celles qu'initiales elles sont prises dans la défense du juge qui a poursuivi le GAL mais il a inlassablement combattu aussi contre ETA et son environnement, il a découvert la corruption de gauches et de droite. Avec 15 ans, j'ai assisté au jugement de mon père dans lequel un Tribunal Militaire franquiste demandait une peine capitale contre il et d'autre douzaine d'accusés. Son crime : avoir été gouverneur civil de Segóvia quand Alejandro Lerroux a été Président du gouvernement de la République jusqu'au triomphe du Front Populaire en février 1936. Mon père a été libéré deux ans après sa détention. Il ne lui a pas été rendu, son Agence “Presse Mondiale” et son programme radiophonique “Quotidien Hablado de l'Europe”, les deux destinés aux médias latino-américains. Il est mort sans que ne lui réintégrât son agence. Un survivant et un témoin, Carles Sentís, le monument du journalisme catalan qui encore aujourd'hui peut témoigner de tout ce qui est venu d'exposer parce qu'il a fait une partie de cette rédaction du rue de la Paix, au Paris occupé par la barbarie un nazi, á côté de Juan Bellveser, Alvaro de Laiglesia et Julián Cortés Cabanillas.

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